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Shazam à la conquête de l’image publicitaire

Shazam est l’application la plus rapide et la plus facile à utiliser afin de découvrir l’auteur et le titre d’une chanson. Le concept est simple, Shazam utilise le microphone du téléphone afin de capturer un échantillon du morceau écouté. A partir de cet échantillon, une empreinte acoustique est alors créée.
Basée sur une technologie de reconnaissance musicale, elle permet à son utilisateur une fois activée de reconnaitre la chanson diffusée et de le diriger vers le lien du titre et de son auteur sur des sites partenaires tels que Youtube, iTunes ou Spotify.

 

Shazam et la Publicité

L’entreprise a eu l’ingénieuse idée de combiner cette technologie et la puissance de sa base de données à la publicité. Ce qui a permis de voir des partenariats avec des marques telles que Levis qui en ont fait un véritable outil de brand content.
Shazam se donnait il y’a quelques mois l’objectif d’abandonner son image d’application musicale pour devenir un véritable allié des stratégies de publicité multi-devices des marques.

 

La communication par l’image

La nouvelle fonctionnalité de Shazam permet donc à ses utilisateurs de prendre en photo des bannières pour accéder à du contenu multimédia.

Shazam
Guerlain, a été la première marque de luxe à tenter cette nouvelle fonctionnalité pour le lancement de l’Homme Idéal Cologne :

shazam - guerlain
Boohoo a également été précurseur en proposant d’acheter directement depuis son affiche publicitaire :

shazam - bohoo
Si l’idée peut sembler révolutionnaire, elle n’est pas sans rappeler le fameux QR code que l’on peut retrouver sur la quasi-totalité des affichages publicitaires.

L’avantage que peut avoir Shazam comparé au QR code classique c’est l’image de n’être associé qu’à des marques prestigieuses. Ce qui peut en soit, du moins pour quelque temps, représenter un véritable atout pour les marques qui souhaitent offrir une nouvelle expérience utilisateur à leurs communautés respectives.

 

D’ailleurs nul question de parler de scanner, sur Shazam il faut « shazamer ».
Désormais après le son et l’image, à quand la reconnaissance sensorielle pour Shazam ?